Comment les jeux font-ils société ? Contenus, pratiques et médiations ludiques

Auteurs

  • Dominic Arsenault Université de Montréal, Département d’histoire de l’art et d’études cinématographiques, Canada.

DOI :

https://doi.org/10.14428/emulations.030.09

Mots-clés :

conclusion

Résumé

À l’issue de ce numéro, nous avons choisi de laisser au professeur Dominic Arsenault toute latitude afin de proposer une conclusion « ludique ». Celle-ci offre à la fois la perspective d’un professeur en études du jeu vidéo (ou sciences du jeu dans le vocable européen) sur les travaux présents dans ce numéro, mais aussi le témoignage d’un chercheur de première génération dans le champ sur l’évolution de la recherche et sur les enjeux qui y sont attachés.

 

 

 

Biographie de l'auteur

Dominic Arsenault, Université de Montréal, Département d’histoire de l’art et d’études cinématographiques, Canada.

Professeur au département d’histoire de l’art et d’études cinématographiques de l’Université de Montréal. Spécialisé dans la narration et la scénarisation interactive, il s’intéresse aussi aux théories des genres littéraires, cinématographiques et vidéoludiques, aux graphismes et à la représentation visuelle dans le jeu vidéo et le cinéma d’animation, à l’histoire, l’économie et l’innovation dans l'industrie du jeu vidéo, et enfin, il explore les hybridations entre la musique de jeux vidéo et le heavy metal dans son projet solo de recherche-création musicale Multi-Memory Controller. Récemment, il a publié Super Power, Spoony Bards, and Silverware: The Super Nintendo Entertainment System à la MIT Press (2017). Il travaille sur une traduction de ce livre ainsi qu’à un guide de scénarisation pour le jeu vidéo et un ouvrage sur l'analyse de jeux vidéo avec Bernard Perron et Carl Therrien du Laboratoire Universitaire de Documentation et d'Observation Vidéoludiques (LUDOV), Montréal.

Téléchargements

Publiée

2019-09-03

Comment citer

Arsenault, D. (2019) « Comment les jeux font-ils société ? Contenus, pratiques et médiations ludiques », Emulations - Revue de sciences sociales, (30), p. 119–129. doi: 10.14428/emulations.030.09.