Sharing ethnographic love

Auteurs

  • Catherine Besteman Professeure d’Anthropologie, Colby College
  • Isabelle Jabiot LESC, CNRS, Université Paris Ouest Nanterre La Défense
  • Maïté Maskens LAMC, Université libre de Bruxelles
  • Carine Plancke LAS, Écoles des hautes études en sciences sociales, Paris

DOI :

https://doi.org/10.14428/emulations.018.011

Résumé

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Bibliographies de l'auteur

Catherine Besteman, Professeure d’Anthropologie, Colby College

Enseigne l’anthropologie et les Études africaines au Colby College depuis 1994. Ses intérêts de recherche et d’enseignement portent sur l’analyse des dynamiques de pouvoir qui produisent et maintiennent de l’inégalité, du racisme et de violence, ainsi que sur l’activisme et les efforts communautaires voués au changement social. Elle a étudié ces objets dans le sud de la Somalie, en Afrique du Sud et aux États-Unis. Ses recherches ont été financées par différents organismes : Rockefeller Foundation, Guggenheim Foundation, American Council of Learned Societies, Wenner-Gren Foundation, School of Advanced Research, National Endowment for the Humanities.

Isabelle Jabiot, LESC, CNRS, Université Paris Ouest Nanterre La Défense

Doctorante en anthropologie au laboratoire d’ethnologie et de sociologie comparative (LESC, CNRS / Université de Nanterre). Menant des recherches sur le Maroc depuis 2008, sa thèse vise à décrire et à analyser la présence des êtres et des manières d’êtres dans une petite ville de montagne, Chefchaouen. Souhaitant aller au-delà d’une pensée par dichotomie, elle vise à restituer les nuances avec lesquelles « l’urbain » et le « rural » sont présents sur une diversité d’aspects faisant partie de la vie quotidienne, et cela en maintenant un regard à échelle humaine et à la lueur des expériences et des parcours individuels et singuliers. Sa recherche couvre divers thèmes dont les relations ville-campagne, l’anthropologie de la nature et la question des ontologies ou encore l’anthropologie du croire. Financée d’abord grâce à une allocation de recherches du Ministère de l’Enseignement Supérieur, elle a été par la suite enseignante au département d’Anthropologie de l’Université de Nanterre. Elle a par ailleurs animé divers ateliers de recherche, co-dirigé des publications collectives et publié entre autres dans Zeitschrif für Ethnologie et dans des ouvrages collectifs.

Maïté Maskens, LAMC, Université libre de Bruxelles

Docteure en anthropologie et maître de conférences à l’Université libre de Bruxelles. Ses intérêts intellectuels hétéroclites l’ont porté à travailler sur le pentecôtisme, le genre, la migration, l’amour, la bureaucratie et l’utopie. Elle est l’auteure d’une monographie (Cheminer avec Dieu : pentecôtismes et migrations à Bruxelles, Éditions de l’Université de Bruxelles, 2013), de plusieurs numéros thématiques (« Mariages et migrations : l’amour et ses frontières », Migrations Société, vol. XXV, n° 150, 2013 ; avec Ruy Blanes : « Ethnography and the Mutualizing Utopia », Journal of the Anthropological Society of Oxford, Special Issue VIII.2, 2016 ; avec Ruy Blanes, Alex Flynn and Jonas Tinius, « Micro-utopias: anthropological perspectives on art, relationality and creativity », Cadernos de Arte e Antropologia, vol. 5, n° 1, p. 5-20, 2016) et d’une douzaine d’articles dans des revues internationales à comité de lecture telles que Cambridge Journal of Anthropology, HAU : Journal of Ethnographic Theory, Etnografica, Canadian Journal of African Studies, Cahiers d’études africaines, L’Espace Politique, Autrepart, Archives des sciences sociales des religions et de nombreux chapitres d’ouvrages.

Carine Plancke, LAS, Écoles des hautes études en sciences sociales, Paris

Docteure en ethnologie et anthropologie sociale, est actuellement postdoctorante au département « Langues et cultures africaines » de l’université de Gand et chercheure affiliée au Laboratoire d’anthropologie sociale (LAS, Collège de France, Paris). Elle a travaillé comme attachée temporaire d’enseignement et de recherche aux universités de Nice et de Clermont-Ferrand et comme postdoctorante (boursière Fernand Braudel et Marie Curie) à l’université de Roehampton au Royaume-Uni. Ses travaux se situent dans les champs de l’anthropologie de la danse, des affects, du rituel et du genre. Elle est l’auteure d’une monographie (Flux, rencontres et émergences affectives : pratiques chantées et dansées chez les Punu du Congo-Brazzaville, Toulouse, PUM, 2014) et d’une douzaine d’articles dans des revues internationales à comité de lecture telles que Africa, Journal of Religion in Africa, Cahiers d’études africaines, Anthropologie et Sociétés, Social Analysis et Journal of the Royal Anthropological Institute.

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Publiée

2017-03-28

Comment citer

Besteman, C., Jabiot, I., Maskens, M. et Plancke, C. (2017) « Sharing ethnographic love », Emulations - Revue de sciences sociales, (18), p. 135–141. doi: 10.14428/emulations.018.011.