Less is more, minimalisme et musique
DOI :
https://doi.org/10.14428/rec.v38i38.50313Résumé
L'émergence de la musique minimaliste au début des années soixante peut s'envisager dans un mouvement plus global d'éloge du moins rassemblé derrière l'expression : less is more. Ce sujet dépasse les limites du champ artistique comme on peut le voir dans le volume des Cahiers de Médiologie (Dagonet, 2000) qui y est consacré. Je propose ici une analyse de la musique minimaliste à partir du cadre médiologique proposé par Oudin (2000) dans son article consacré à l'architecture minimale. Ce courant musical fait partie de ce mouvement « moins », notamment par le matériau utilisé pour la composition. J'identifie plusieurs caractéristiques qui permettent de mieux comprendre et de définir cette musique au regard de ce mouvement plus global dans la société du XXe siècle. J'en propose également un éclairage à la lumière du concept de postmodernité.
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