De l’idéal à l’objet déchet
Réflexions lacaniennes sur « Le ventre de l’architecte » (« The belly of an architect ») de Peter Greenaway
DOI :
https://doi.org/10.14428/lpl.v4i22.75723Mots-clés :
Architecture, Psychanalyse, Corps, Sublimation, Le ventre de l'architecte, Lacan, GreenawayRésumé
Viviana Saint-Cyr reprend ses interrogations quant aux rapports entre l'architecture et la sublimation, dont nous avions publié quelques états en 2008 (voir : Architecture, corps et sublimation) et poursuit ses hypothèses quant à l'avance de l'art sur le discours analytique. "J’ai l’idée que ce film (...) traite deux thèses lacaniennes sur l’architecture. D’un côté, la thèse (...) sur l’architecture comme la présentification de la douleur, ce qui est montré non seulement par la belle manière de filmer l’architecture mais surtout par l’angoissante succession de plans fixes. Et de l’autre, la thèse sur l’architecture « qui peut être définie comme quelque chose d’organisé autour d’un vide » et rapportée à la sublimation qui « élève un objet à la dignité de la Chose »".Téléchargements
Publiée
2023-08-24
Comment citer
Melo Saint-Cyr, V. (2023). De l’idéal à l’objet déchet: Réflexions lacaniennes sur « Le ventre de l’architecte » (« The belly of an architect ») de Peter Greenaway. Les Pages Du Laa, 4(22), 1–12. https://doi.org/10.14428/lpl.v4i22.75723
Numéro
Rubrique
Article